1. Le changement climatique actuel est un phénomène mondial
prouvé Les
faits qui attestent l’existence du réchauffement climatique sont de plus en plus
nombreux et incontestables. - Il y a d’abord l’effrayante fonte des glaciers dont tout un chacun peut prendre lui-même conscience, soit par la vision des nombreux documentaires et reportages tournés en Arctique et en Antarctique, soit localement par un constat à l’œil nu lors de randonnées dans les Alpes. La Thèse de Doctorat de Géographie intitulée « Inventaire et retrait des glaciers dans les Alpes françaises depuis la fin du Petit Âge Glaciaire » soutenue le 14 mars 2014 à l’Université de Grenoble par Marie Gardent montre leur recul généralisé. Les travaux d’observation actuellement en cours de glaciologues français et étrangers sur six glaciers des Alpes confirment que les géants blancs culminant à moins de 3.500 mètres auront disparu du paysage alpin avant la fin du siècle [http://www.lemonde.fr/climat/article/2017/02/16/les-glaciers-alpins-fondent-a-tres-grande-vitesse - Il y a également des
évènements dramatiques de plus en plus extrêmes, comme des inondations, des
sécheresses, des feux de forêt, des tempêtes, mais aussi comme la remontée vers
le Nord d’insectes porteurs de nouvelles maladies. L’Agence Européenne de
l’Environnement (EAA), qui réalise un état des lieux tous les 4 ans, a publié
le 25 janvier 2017 une étude aux résultats inquiétants sur
2. Le changement climatique
est dû aux activités humaines contemporaines La
majorité des scientifiques investis dans la recherche sur le climat, soit 97%
d’entre eux, s’accordent à dire que c’est l’augmentation de la concentration de
CO2 (et des autres facteurs liés à l’industrie humaine) qui cause l’augmentation
des températures. Pourtant, des responsables politiques se positionnent dans un déni total du
phénomène tandis que d’autres personnalités l’admettent mais affirment toutefois qu’il est largement
surestimé, tandis que d’autres encore prétendent qu’il n’est pas d’origine
humaine. Ceux qui nient le réchauffement ont souvent
parties liées avec - voire financés par -
les industries des énergies fossiles dont le fonctionnement entraîne les
rejets de gaz dans l’atmosphère [http://e-rse.net/changement-climatique-doutes-mythes-realites-scientifique-15101/#gs.Vnhe44k]. 3. Les énergies fossiles doivent désormais être
laissées dans le sol Un appel de la société civile a été lancé en août
2015, peu avant la tenue de la COP 21 de Paris en fin de 4. Des
sources d’énergies non polluantes peuvent être mises en œuvre Cet
appel à la conscience des hommes ne signifie évidemment pas le retour à la
bougie. Un monde décarboné est en effet possible grâce à un nouveau modèle
énergétique basé sur trois éléments, des énergies renouvelables, comme
l’énergie solaire, des travaux d’efficacité énergétique, comme l’isolation des
bâtiments, des besoins énergétiques rationnalisés, sobres, comme la suppression
de l’éclairage des rues, des bureaux, des vitrines. C’est la démarche qui est
portée depuis 2001 par l’association négaWatt [https://negawatt.org/]. Une
formidable invention va enfin permettre de propulser ce nouveau modèle
énergétique grâce à une utilisation aisée, généralisée et optimale, de
l’énergie du soleil. Elle est l’œuvre d’un Ingénieur des Arts et Métiers, passionné de mécanique, André
Gennesseaux, né en 1962, fondateur et directeur d'Energiestro [http://www.energiestro.fr/], lauréat en 2014 du "Concours
Mondial d’Innovation 2030" et vainqueur en 2015 du concours EDF-Pulse. Léon-Etienne CREMILLE le 28
février 2017 |
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